Signification de « Moine »
En anglais: Monk
Orthographe alternative: Moines, Le moine
Veuillez noter : les exemples ci-dessous sont fournis à titre illustratif uniquement et ne reflètent pas une traduction ou une citation directe. Il est de votre responsabilité de vérifier la véracité des faits.
Le concept Bouddhiste de la « Moine »
Le concept de "Moine" (ou "Moines/Le moine") dans le bouddhisme, est une personne ayant renoncé à la vie mondaine pour un chemin spirituel, particulièrement dans le bouddhisme [1]. Cette renonciation est souvent motivée par la quête de l'éveil et la cessation de la souffrance. Un moine est également une personne ayant prononcé des vœux religieux, comme le Bodhisattva après sa renonciation [2]. Dans le contexte de la tradition Theravada, les moines sont décrits comme des individus devant s'acquitter de leurs devoirs avec attention et sagesse, intégrant ces éléments dans leur pratique du Dhamma [3]. Ils sont encouragés à être attentifs, même dans les activités quotidiennes telles que manger, mettant l'accent sur la contemplation [4].
Le terme se réfère également à ceux qui sont membres de la communauté monastique, dédiés à la pratique spirituelle et au respect des règles éthiques [5]. On les considère comme des individus cherchant le développement spirituel, suivant les enseignements bouddhistes [6]. Ces moines sont souvent présents lors d'événements et reçoivent des instructions, comme lors de la récitation du Patimokkha [7]. Dans le contexte du Mahayana, ils sont aussi perçus comme des êtres ayant atteint l'éveil et échappé au cycle des renaissances [8]. Les moines sont ceux qui suivent les enseignements du Bouddha et qui aspirent à l'avancement spirituel [9]. Le concept inclut également les moines qui sont informés des situations, posent des questions et participent aux discussions concernant les règles et la conduite monastique [10] [11]. Ils peuvent être les destinataires des communications et des enseignements du Seigneur [12]. Ils sont impliqués dans les activités de l'ordre et sont parfois sujet aux règles concernant les offenses et leur rectification [13] [14].
Dans le bouddhisme Theravada, le moine est souvent synonyme de samana, désignant une personne dévouée aux pratiques religieuses et spirituelles [15]. Les moines sont des exemples de renonciation et de la voie spirituelle [16]. Ils sont aussi présents dans des récits et sont souvent impliqués dans la prise de décisions, l'assignation de robes et l'application des règles [17] [18]. Ils peuvent être amenés à renoncer aux plaisirs mondains et à observer des codes moraux [19]. Le moine est souvent associé à la vie de communauté et à la pratique de la renonciation dans un cadre monastique [20]. Ils sont des membres de la communauté bouddhiste qui consacrent leur vie à la pratique du Dhamma et aux enseignements du Bouddha [21]. Le concept de "moine" est essentiel dans le bouddhisme, représentant l'un des chemins possibles vers l'éveil et la libération de la souffrance. Ils peuvent aussi être des instructeurs, des precepteurs ou encore ceux qui sont abordés par des guerriers en quête d'ordination [22] [23]. Le terme peut aussi désigner les moines qui sont instruits par le Bouddha sur la bienveillance, l'attention et la moralité [24].
Le concept Jaïn de la « Moine »
Dans le jaïnisme, un moine est une personne ayant prononcé des vœux monastiques, menant une vie religieuse [25]. Ils s'engagent dans la pratique religieuse et la discipline, parfois en lien avec le bouddhisme [26]. Ces figures religieuses participent activement au dialogue spirituel [27].
Les moines, comme personnages, peuvent être sages et comprendre la nature profonde des choses, à l'image du moine récupérant le lotus [28]. Ils abandonnent le monde pour la spiritualité et ses enseignements [29]. Ils recherchent l'illumination, comme ceux qui interrogent Mahavira [30]. L'objectif est l'atteinte de buts spirituels par le renoncement .
Le concept de « Moine » dans les sources locales et régionales
Dans le contexte historique, le moine, en Asie du Sud, est une figure bouddhiste prophétisant la mort d'un jeune homme [31].
En Inde, les moines appartiennent à l'ordre monastique, liés au Seigneur et incluant Nanda [32]. Ils résident également dans des monastères, servant de source d'information [33].
Sources et références pour une lecture plus approfondie
La liste ci-dessus est basée sur un certain nombre d'articles (en anglais) sur le bouddhisme, l'hindouisme, le jaïnisme, l'histoire et d'autres traditions spirituelles. Les sources utilisées et plus d'informations sur la signification du symbole « Moine » peuvent être trouvées ci-dessous à titre de référence:
-) Apadana commentary (Atthakatha) door U Lu Pe Win: ^(1), ^(2)
-) Patipada (path of practice): ^(3), ^(4)
-) Vinaya Pitaka (1): Bhikkhu-vibhanga (the analysis of Monks� rules) door I. B. Horner: ^(5), ^(6), ^(15), ^(17)
-) Vinaya Pitaka (3): Khandhaka door I. B. Horner: ^(7), ^(11), ^(12), ^(13), ^(14), ^(18), ^(20), ^(22), ^(23)
-) Mahavastu (great story) door J. J. Jones: ^(8)
-) Dhammapada (Illustrated) door Ven. Weagoda Sarada Maha Thero: ^(9), ^(19), ^(24)
-) Vinaya Pitaka (2): Bhikkhuni-vibhanga (the analysis of Nun� rules) door I. B. Horner: ^(10)
-) Maha Buddhavamsa—The Great Chronicle of Buddhas door Ven. Mingun Sayadaw: ^(16), ^(21)
-) Trishashti Shalaka Purusha Caritra door Helen M. Johnson: ^(25), ^(26)
-) Bhagavati-sutra (Viyaha-pannatti) door K. C. Lalwani: ^(27), ^(30)
-) Sutrakritanga (English translation) door Hermann Jacobi: ^(28), ^(29)
-) Village Folk-tales of Ceylon (Sri Lanka), vol. 1-3 door Henry Parker: ^(31)
-) Triveni Journal: ^(32)